Calum Ingram, compositeur-interprète polyvalent et violoncelliste de formation, a sorti The Man, un trek musical en dix pistes à travers la pop, le blues et la fusion funk. Mettre en valeur le talent de son instrument d’une manière que je n’avais jamais vue auparavant, c’est aussi divertissant à regarder qu’à entendre. Je dois avouer que j’ai consacré un peu plus de temps à regarder ses performances sur YouTube qu’à écouter l’album en direct. J’ai aimé regarder la passion ; il y en a beaucoup. Ingram est une pure incarnation de l’esprit et du sentiment. Je l’ai particulièrement ressenti quand j’ai regardé sa prestation en direct du Japan.
Il y a un grand sentiment de connexion et d’interaction entre tous ceux qui jouent sur l’album. Cet enregistrement a été enregistré en direct, avec Jose Rojas (batterie et percussion), Chatonda Ridley sur Bass Guitar et Moss Taylor sur Keyboards. Ce sont tous d’excellents joueurs, et leurs compétences communes font briller cet album.
Un autre morceau juteux – ce type sort des vinyles ! Quelle brise fraîche, non ? Vous pouvez les obtenir ici à son magasin de site Web.
Calum a été présenté dans la série Sky Arts TV, « Unsigned Heroes » de Tony Visconti, qui l’a vu jouer un duo avec Stewart Copeland (The Police) à Londres au Royaume-Uni en 2017. D’après ce que j’ai pu trouver jusqu’à présent, il a sorti un EP en direct, un premier album et sa couverture de single Thin Lizzy Dancing In The Moonlight. The Man a été libéré le 26 avril. Ingram existe depuis un certain temps maintenant ; il est à la tête de la scène acoustique principale du Wicker Man Festival en Écosse, et il a déjà fait le tour de l’Amérique et de l’Europe.
The Man dévoile également plusieurs belles ballades ; Cup of Urafain met en vedette de belles voix de Michael G. Ronstadt tandis que la musique se mélange et se déplace comme un brouillard sombre et sentimental. Elle a été inspirée par l’isolement du premier confinement. Strong and Alone fait monter le tempo juste assez pour apporter cette vieille détermination à son histoire.
J’aime vraiment l’ambiance moyen-orientale au centre de Show Me The Way, ce qui en fait probablement l’une de mes chansons préférées de l’album (aussi parce qu’elles ont l’air de s’en amuser complètement).
Écoute The Man. C’est bien de voir quelqu’un manœuvrer plusieurs genres sans lâcher cette émotion de base.